Ecoute les pièces du prochain concert du 23/11/2025 « Rituel Celtique » :
Lis les pièces du prochain concert du 23/11/2025 « Rituel Celtique »:
Ces partitions numérisées sont à disposition des musiciens de l’OHVN et ne doivent pas être diffusées à l’extérieur sous peine d’amandes pour l’OHVN (si besoin formuler une demande aux membres du CA).
Cry of the Celts (de Ronan HARDIMAN sur un arrangement de Peter GRAHAM)
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Présentation & conducteur
La musique de Ronan Hardiman pour le spectacle de danse à succès de Michael Flatley, The Lord of the Dance, est devenue elle-même extrêmement populaire. Cette suite du spectacle (Cry of the Celts), initialement commandée pour l’orchestre YBS par son chef d’orchestre David King, a été créée lors du concert de gala de l’European Brass Band de 1997, au Barbican de Londres.
Nigel Boddice, présent dans le public, a perçu un potentiel pour l’orchestre d’harmonie et a ensuite commandé cette version pour les vents de l’Orchestre de la Marine royale norvégienne.
La pièce comporte cinq mouvements : 1) Cauchemar, 2) Suil a Ruin, 3) Évasion, 4) Lamentation et 5) Victoire, chacun mettant en vedette différents solistes de l’ensemble dans un mélange de styles traditionnels irlandais, folk et rock.
Clarinettes
Saxophones
Cors
Trompettes (Magnifiques !) 🎺🎶
Euphoniums & Tubas
Lux perpetua (Frank TICHELI)
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Présentation & conducteur
LUX PERPETUA a été composé à la mémoire de deux musiciens – Laura Onwudinanti et Jack Stewart – tous deux clarinettistes et membres de l’Ensemble à vent de l’Université Baylor, qui ont perdu la vie dans un tragique accident de voiture.
En composant cette musique, j’ai gardé à l’esprit leurs natures : l’un, Jack, plus introspectif et réfléchi, l’autre, Laura, plus sociable et spontanée. Ces qualités se reflètent dans la musique, qui tente de capturer leur lumière dans le son.
Le titre « Lux Perpetua » signifie « Lumière perpétuelle » et est tiré de la Messe de Requiem latine, tirée du dernier vers de son Lux Aeterna : « Et lux perpetua luceat eis » – « Et que la lumière perpétuelle brille sur eux. » J’en suis venu à considérer cette lumière à la fois comme protectrice et illuminatrice, si bien que deux types de lumière illuminent l’œuvre, l’une douce et méditative, l’autre pétillante et pétillante.
L’œuvre débute doucement et délicatement aux clarinettes par un motif ascendant en douzième juste, suivi d’un motif descendant en tierce mineure. Ce motif descendant s’intègre à la trame entière de la pièce, parfois comme matériau de transition, ou comme matériau de contraste inattendu, et parfois encore s’épanouissant dans la mélodie principale.
La mélodie, d’une noblesse nostalgique, est construite de manière à suggérer la notion d’infini : l’harmonie qui l’accompagne dépeint une sorte de soufflet, l’inspiration et l’expiration perpétuelles. L’harmonie ne s’arrête jamais sur un accord final, mais évolue vers une modulation intrinsèque, forçant la mélodie à se répéter dans une chaîne de nouvelles tonalités. La pulsation de l’harmonie est la force vitale de l’œuvre.
En contraste saisissant avec cette pulsation calme, une section énergique surgit, qui n’émane cependant pas de nouveaux thèmes, mais du motif principal et de la mélodie principale, désormais dans une lumière scintillante, entourant les lignes lyriques, pour aboutir à un apogée formidable. La coda finale fait office de méditation, s’élevant plus haut et plus doucement, un doux balancement d’avant en arrière alors que l’œuvre se termine, baignée d’une douce lumière dans une ascension fragile vers les cieux.
FRANK TICHELI
PASADENA, CALIFORNIA
JULY 2, 2020
Clarinettes
Saxophones
Trompettes (Quelles beautés !)🎺🎵
Euphoniums & Tubas
Harpe
Stone Age (Thomas Doss)
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Présentation & Conducteur
Commandée par l’Association des Orchestres à Vent de la région Neckar-Alb, en Allemagne, à l’occasion du 25e anniversaire de son Orchestre de jeunes, Stone Age (L’Âge de pierre) est dédiée aux jeunes instrumentistes à vent.
Les sections Stone Age, Middle Age et New Age forment la structure fondamentale de cette œuvre en un seul mouvement qui exige un haut niveau de compétence.
Stone Age représente la préhistoire, qui a laissé de nombreuses traces dans la région Neckar-Alb – celles-ci pouvant toujours être observées grâce aux fouilles qui ont été effectuées. Le climat musical de cette section est menaçant et archaïque.
Middle Age reflète l’ère médiévale, durant laquelle les Celtes sont associés à la région Neckar-Alb. Nous entendons une vieille chanson allemande (Le Lied de St Jacob) à laquelle peuvent se joindre chanteurs, guitare ou flûte à bec. Il est également permis d’employer une cornemuse dans les danses.
Le Lied de St Jacob s’éteint progressivement. Des danses celtiques sont introduites et, petit à petit, leur entrain et leur vitalité nous mènent à la section New Age, où l’orchestre exprime sa jeune énergie et son esprit contemporain. Des rythmes endiablés se mêlent aux airs celtiques et culbutent ensemble dans une course effrénée jusqu’à la fin de la pièce, qui se termine par des réjouissances auxquelles tout le monde est invité.
Thomas Doss
Voix
Clarinettes
Saxophones
Trompettes, cornets (La magnificence à l’état pur !) 🎵😎🎺
Euphoniums & Tubas (et autres trucs graves… c’est compliqué les gros !)🤿
Percussions
Spécifiques (Harpe, cornemuse, guitare et basse électrique)
Blue Shades (Franck TICHELLI)
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Présentation de l’œuvre & Conducteur
Préface de l’édition du 25ème anniversaire de « Blue Shades : pour vents symphoniques et percussions »
J’ai terminé le manuscrit original de Blue Shades le 31 décembre 1995, et bien que je savais à l’époque que j’avais créé quelque chose de nouveau, je n’avais aucune idée que cela deviendrait l’une de mes œuvres les plus célèbres.
Après avoir assisté à de nombreuses représentations de Blue Shades au fil des années – beaucoup avec moi en tant que chef invité – il n’est pas surprenant que ma relation avec cette œuvre ait évolué. Je suis maintenant attiré par certaines voix intérieures et effets coloristiques dans la pièce – des éléments que je remarquais à peine il y a 25 ans. J’aime maintenant accélérer le tempo par rapport à la marque du métronome que j’avais initialement indiquée ; j’ai appris de nombreux chefs d’orchestre qui ont partagé leurs idées et leurs interprétations uniques, dont beaucoup ont réussi à révéler des aspects que je ne savais même pas exister dans la pièce ; et tout au long, leurs idées ont enrichi ma réflexion sur l’œuvre et amélioré ma propre interprétation.
J’ai fait plus que simplement corriger les erreurs pour cette édition du 25ème anniversaire. J’ai examiné attentivement une grande partie de l’orchestration, apportant des centaines de révisions en vue d’ajuster non seulement des détails minuscules, mais aussi des effets audacieux. Le tempo est maintenant plus rapide que dans l’original, les articulations ont été clarifiées, les groupements de notes ont été modifiés, une partie de contrebasse a été ajoutée (elle renforce la basse « walking » pendant le solo de clarinette debout), les dynamiques ont été ajustées, des indications verbales ont été ajoutées pour clarifier et intensifier les effets musicaux souhaités, des lignes musicales importantes ont été renforcées là où cela était nécessaire. Et la partition elle-même est maintenant au format 11″x17″.
Je suis ravi de proposer cette édition du 25ème anniversaire de Blue Shades, et je suis certain qu’elle permettra aux chefs d’orchestre et aux interprètes de donner une nouvelle vie exaltante à leurs performances de cette pièce.
FRANK TICHELI
Pasadena, Californie
25 novembre 2019
Contexte
En 1992, j’ai composé un concerto pour un groupe de jazz traditionnel et un orchestre, Playing With Fire, pour le Jim Cullum Jazz Band et le San Antonio Symphony. Cette œuvre a été composée comme une célébration de la musique jazz traditionnelle que j’ai souvent entendue en grandissant près de la Nouvelle-Orléans.
J’ai ressenti une immense joie lors de la création de Playing With Fire, et mon amour pour le jazz ancien s’exprime dans chaque mesure du concerto. Cependant, après l’avoir terminé, j’ai su que les influences du jazz traditionnel dominaient l’œuvre, laissant peu de place à ma propre voix musicale. J’ai ressenti un besoin profond de composer une autre œuvre, une qui combinerait mon amour pour le jazz ancien avec mon propre style musical.
Blue Shades
Quatre ans et plusieurs compositions plus tard, j’ai enfin eu l’occasion de répondre à ce besoin en composant Blue Shades. Comme son titre le suggère, l’œuvre fait allusion au blues, et une ambiance jazz est omniprésente – cependant, ce n’est pas littéralement une pièce de blues. Il n’y a pas une seule progression de blues en 12 mesures, et à l’exception de quelques sections isolées, la croche n’est pas swing.
L’œuvre est cependant fortement influencée par le blues : des « notes bleues » (tierces, quintes et septièmes abaissées) sont utilisées constamment ; les harmonies, rythmes et idiomes mélodiques du blues imprègnent l’œuvre ; et de nombreuses « nuances de bleu » sont représentées, allant du bleu vif au bleu sombre, en passant par le bleu sale et le bleu chaud.
Par moments, Blue Shades burlesque certains clichés de l’ère des Big Bands, non pas comme une moquerie de ces conventions, mais comme un hommage. Une section lente et calme au milieu rappelle l’atmosphère d’un sombre et enfumé club de blues. Un long solo de clarinette joué vers la fin évoque le style de jeu « hot » de Benny Goodman et introduit une série d’accords « hurlants » des cuivres rappelant les effets de sifflet de train couramment utilisés à cette époque.
Blue Shades a été commandé par un consortium de trente orchestres universitaires, communautaires et lycéens sous les auspices du Worldwide Concurrent Premieres and Commissioning Fund. Toutes les parties commanditaires sont mentionnées à la fin de ces notes de programme.
Matériel thématique
L’intervalle de tierce mineure est de loin le plus important dans Blue Shades. Pendant la majeure partie des cent quinze premières mesures, la tierce mineure est répétée en arrière-plan comme un fil musical qui relie et connecte une riche variété d’événements au premier plan. La tierce mineure est également utilisée comme élément de construction pour la plupart des thèmes de l’œuvre, y compris un thème de basse important qui apparaît pour la première fois à la mesure 46.
Ce thème, à peine perceptible au début, prend une importance croissante au fur et à mesure que la pièce progresse. Il apparaît fréquemment comme un accompagnement de basse et deux fois comme base pour des passages canoniques qui mènent aux climax explosifs de l’œuvre (mesures 249-264 et 388-398).
Plus tard dans l’œuvre, ce thème de basse est transformé en un ostinato de basse « walking ». Cet ostinato sert d’accompagnement à un long solo de clarinette. Le solo semble improvisé (comme beaucoup d’autres solos et passages de l’œuvre), mais il est en fait noté avec un soin méticuleux.
Un dernier exemple révèle plusieurs aspects cruciaux de la structure motivique, harmonique et rythmique de l’œuvre. L’étendue à laquelle la tierce mineure (marquée d’un « x ») résonne à plusieurs niveaux simultanément est clairement visible. De plus, la clarinette et le basson révèlent la structure harmonique polymodale essentielle de l’œuvre (Sol majeur/mineur, ou plus précisément Sol mixolydien/dorien). Enfin, le polymètre est suggéré entre le matériel au premier plan (3/4) et le basson (2/4 implicite).
Notes de répétition
Lors de l’exécution, maintenez une énergie vive et une ambiance jazz tout au long de la pièce, même lorsque la croche n’est pas swing. Les musiciens doivent exagérer toutes les notes accentuées pour faire ressortir les syncopes jazz ; cependant, ils ne doivent pas chercher à accentuer l’ambiance jazz en improvisant ou en ajoutant des idiomes jazz au-delà de ceux notés (par exemple, pas de notes d’agrément ajoutées, glissandi, courbes, glissements ou envolées). Une partie du succès de la pièce réside dans la subtilité de ces conventions.
La forme est composée librement et très fluide ; cependant, elle peut être divisée en six grandes sections :
- Section I (mesures 1-68) : Matériel introductif
- Section II (mesures 69-172) : Exposition des thèmes principaux
- Section III (mesures 173-270) : Pédale de Ré et premier climax
- Section IV (mesures 271-320) : Atmosphère sombre et sale
- Section V (mesures 321-375) : Long solo de clarinette
- Section VI (mesures 376-433) : Cri final
Chaque section est accompagnée de directives spécifiques pour les interprètes afin de maximiser l’effet musical et l’énergie de la pièce.
Section I (mesures 1-68) – Matériel introductif
Les accords des cuivres dans les mesures 3 à 14 doivent être très staccato, énergiques et distincts (à la manière de Stravinsky). Les notes de trombone et de trompette dans les mesures 18 à 25 renforcent la ligne de clarinette et doivent être jouées de manière percussive, exactement en synchronisation avec les clarinettes. Exagérez toutes les notes marquées sf dans les mesures 34-38, 52 et 64.
Section II (mesures 69-172) – Exposition et thèmes principaux
La texture multicouche est élaborée, mais doit toujours être transparente et vibrante, comme une conversation animée et captivante. Dans les mesures 135-137, les joueurs de cor doivent maintenir leur intensité tout en abaissant légèrement les notes avec la main dans le pavillon. La timbale et la grosse caisse doivent interrompre puissamment et rudement les cors à la mesure 138. Une énergie brutale émerge soudainement à la mesure 140 avec l’entrée d’un canon à deux voix sauvage. Le joueur de cloche doit maintenir l’élan vers l’avant. Le tempo ne doit pas ralentir ici.
Section III (mesures 173-270) – Pédale de Ré et premier climax
La rigueur mécanique de cette section contraste avec l’ambiance plus jazz des sections précédentes. La pédale de Ré naturel en croches sous-jacente, qui commence dans les flûtes 2 et le marimba, doit être jouée avec une précision stricte, toujours audible mais jamais dominante.
Un passage canonique (commençant à la mesure 249) éclate dans un climax explosif à la mesure 265. Les glissandos des cors doivent être joués aussi fort et avec autant de goût que possible à ce moment-là.
Section IV (mesures 271-320) – Sombre et sale
Il ne doit absolument pas y avoir de changement de tempo à la mesure 271. Ne commencez pas le ritardando plus tôt que marqué. Les solos de clarinette basse (mesures 284-285 et 288-289) sont rubato et peuvent être joués sans direction. Assurez-vous que les flûtes et les bassons modulent les dynamiques comme indiqué (mesures 286-287, etc.). Faites fondre le solo de clarinette dans le solo de hautbois aussi doucement que possible (mesure 293), afin que l’auditeur ne puisse presque pas dire quand un soliste termine et que l’autre commence.
Le passage des mesures 304-307, marqué comme « sale », doit être honteusement provocateur et charnel. Le joueur de tam-tam ne doit pas se retenir à la mesure 304 et 306. La partie de trompette 3 ne peut pas être sous-estimée et est cruciale pour donner à cette section sa qualité risquée. À quelques occasions où les joueurs de trompette 3 n’étaient pas assez forts, j’ai demandé à un ou deux joueurs de trompette 2 de se joindre et d’aider !
L’accelerando des mesures 308-321 doit être fluide et constant tout au long du passage. (Les indications de tempo entre parenthèses tout au long du passage servent de bonne suggestion.) Assurez-vous que le geste transmis entre les joueurs de clarinette 1 et de saxophone alto est équilibré de manière égale.
Clarinettes (En progrès 👏🤞) et cette pièce est pour vous !
Flutes
Saxophones
Hautbois
Bassons
Cors
Trompettes
Trombones
Euphoniums & Tubas
A colour symphony (Philip SPARKE)
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Présentation de l’œuvre & conducteur
A Colour Symphony
Une Symphonie en couleurs est une commande de « sinnfonischen bläserbesetzung wehrend », dirigé par Thomas Ratzek, et financée grâce aux fonds attribués par la Stiftung Niedersächsischer Volksbanken und Raiffeisenbanken et la Volksbank EG Bremerhaven-Cuxland. L’œuvre a été créée le 22 novembre 2014 au théâtre de la ville de Bremerhaven par la formation commanditaire, en présence du compositeur.
Thomas Ratzek, Directeur de l’Orchestre depuis 2006, a transformé le destin, les ambitions et les capacités de cette Harmonie. Tout comme le compositeur Philip Sparke, il considère le Grand Ensemble Symphonique comme la perfection artistique du genre et, en commandant cette pièce, a spécifié qu’elle devait exploiter une instrumentation aussi large et variée que possible, avec l’inclusion du registre grave des bois, d’une harpe, d’un piano et de violoncelles. Pour satisfaire ces conditions, P SPARKE eut l’idée d’écrire une “symphonie en couleurs” tirant parti de la riche palette de sons à sa disposition. Il existe une pathologie nommée chromesthesie, un phénomène neurologique qui fait que certains sons et notes musicaux peuvent mener l’auditeur à percevoir certaines couleurs. Ce n’est pas ainsi que P SPARKE perçoit les sons, mais il distingue – comme des nombreuses personnes – l’équivalence entre les “couleurs“ musicales (et certaines harmonies) et les couleurs du spectre. Ce sont ces teintes qu’il à employées dans sa 3ième Symphonie.
1- WHITE
Des harmonies ouvertes et des couleurs instrumentales pures caractérisent le premier mouvement. Un cor exécute un long solo sur des textures claires que se résout en Do Majeur (les touches blanches du piano) et atteint un climat en tutti. Une incertitude pastorale apaise l’ambiance et mène à une conclusion paisible
2- YELLOW
Le deuxième mouvement met l’accent sur les instruments les plus aigus de l’orchestre, créant ainsi une impression de clarté et de soleil, tant en termes de couleurs que d’ambiance. Les motifs mélodiques sont courts et propulsent constamment l’argument musical vers l’avant, changeant fréquemment de tonalité et de registre. Une mélodie plus longue en mineur émerge brièvement mais le soleil revient bientôt pour clore le mouvement.
3- BLUE
Le troisième mouvement est réservé aux bois, à la percussion et aux cordes. Bien qu’il soit loin d’être morose (blue en anglais) il communique un sentiment implacable d’immobilisme et de désolation, que le mot blue peut parfois évoquer. Un long choral à la clarinette est renvoyé en écho par de brefs motifs joués par les cordes, la harpe est le piano.
5- GREEN
La finale s’inspire d’une nature verdoyante, éclatante et fertile. Il mêle les nombreuses couleurs instrumentales d’un orchestre d’harmonie en une myriade de combinaisons et, contrairement aux autres mouvements, il se fonde sur un riche éventail de teintes plutôt que sur des couleurs primaires. Plein d’élan et d’énergie, ce mouvement à un caractère dansant et s’achève triomphalement avec des fanfares de cuivres appuyées d’ornements par les bois.
4- RED
Par contraste, le quatrième mouvement met en jeu les cuivres et la percussion, interprétant le rouge comme une couleur positive et optimiste – ce qui caractérise d’ailleurs la plupart des partitions pour cuivres. Les diverses familles de cuivres sont représentées individuellement et collectivement dans des passages fugato énergiques et des fanfares audacieuses.
Clarinettes
Flutes
Saxophones
en attente
Hautbois & Cor anglais
Bassons
en attente
Cors
en attente
Trompettes
en attente
Trombones
en attente
Euphoniums & Tubas
en attente
Percussions
en attente
Modèle Fab
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Clarinettes
en attente
Flutes
en attente
Saxophones
en attente
Hautbois
en attente
Bassons
en attente
Cors
en attente
Trompettes
en attente
Trombones
en attente
Euphoniums & Tubas
en attente
Percussions
Percussion 1 (Xylophone, Marimba (4. Octave), Bongos, Vibraslap, Tam Tam(lg.),Suspended Cymbal (med. sm.)
Percussion 2
Percussion 3
Modèle Fab (vide) – TITRE (Compositeur)
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Présentation & conducteur
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en attente
Flutes
en attente
Saxophones
en attente
Hautbois
en attente
Bassons
en attente
Cors
en attente
Trompettes
en attente
Trombones
en attente
Euphoniums & Tubas
en attente
Percussions
en attente
